Distinction Internationale pour un Héros Contemporain : Monsieur Marcel VERVLOESEM

 
 

26 organisations internationales travaillant autour des droits de l’enfant ont attribué un prix au militant belge Marcel Vervloesem. 
 
Le prix est attribué par des associations en provenance des Pays-Bas, de la France, Suisse, Allemagne et de l’Italie. Le prix est une récompense pour sa longue lutte contre le trafic d’enfants et l’exploitation sexuelle d’enfants par des touristes séjournant sur l’île portugaise de Madère. Le prix est également une récompense pour sa découverte du réseau Zandvoort. L’affaire Zandvoort révéla plus de 90.000 photos d’enfants torturé et violé par une dizaine de personnes qui n’ont jamais été inquiété ou poursuivi par la justice des hommes. L’affaire Zandvoort couvrait du porno enfantin et des réseaux deprostitution enfantine au Pays-Bas. Selon les associations qui militent pour les droits de l’enfant, le lauréat a fait un excellent travail dans des circonstances inimaginables et il a été carrément persécuté par les autoritésjudiciaires. Marcel Vervloesem a été le fondateur du désormais célèbre groupe de travail Morkhoven, Une association qui a souvent été taxé de mouvement extrémiste par le gouvernement Belge suite à sa lutte contre les violations des droits de l’homme et de son combat contre la porno enfantine et les réseaux de prostitution enfantine. De nombreuses associations similaires en vu le jour dans de nombreux pays en suivant l’exemple et en s’appuyant sur la connaissance acquise de la cellule Morkhoven. Marcel Vervloesem est activiste depuis 1989 concernant les dossiers d’enfants disparus. Son initiative à l’époque a suscité des moqueries dans le monde judiciaire et politique. Des années plus tard, la Belgique et le monde entier ont été choqué par l’affaire Dutroux-Nihoul. Ces propos étaient devenus une dure réalité. Marcel Vervloesem était invité aux nombreuses conférences à Canada et à l’étranger concernant les abus d’enfants et pointait du doigt l’immobilisme de l’appareil judiciaire Belge.Avec de telle propos, l’activiste ne se fessait guère d’amis dans les milieux gouvernementaaux et judiciaires. Cela ne resta pas sans conséquences. En 1998,il fut accusé de maltraitance d’enfants et condamné par un système résolu à le détruire. Le procès a pris 9 ans. Malgré le fait qu’un test de détecteur de mensonge ordonné par le tribunal avait démontré son innocence, l’activiste fut tout de même condamné à une peine d’emprisonnement de quatre ans car reconnu coupable pour maltraitance de mineurs. Peu de temps après, une enquête du Conseil supérieur belge de la Justice révéla que des dossiers de la partie défenderesse avait disparu au sein même des services du Procureur général d’Anvers. Encore plus inquiétant était sans doute des documents choquant de la part du procureur de Turnhout, où le magistrat avisait le procureur général d’Anvers, qu’en raison d’une erreur humaine, de nombreux documents à décharge n’avaient jamais été ajouté à l’instruction judiciaire. Des documents prouvant que les témoins revenaient sur leur fausse déclaration. Que selon un huissier de justice, plusieurs déclarations contre l’activiste étaient irrecevables. La Justice a tout ignoré en bloc et s’empressa d’enfermer l’activiste en prison au délai fixé : le 5 Septembre 2008. La condamnation de l’appelant reste à ce jour une question litigieuse entre le procureur belge et la partie défenderesse. Mais l’homme devait à tout prix être mis hors circuit car il était sur le point d’avoir accès au dossier judiciaire hollandais concernant les fichiers de la honte appelé Zandvoort.
 

Les associations ont aujourd’hui, après consultation du dossier médical et pénal, conclu que les droits de Marcel Vervloesem ont été violés par l’Etat belge durant sa détention. Les associations des droits de l’homme parle même detraitement inhumain et à plusieurs reprises carrément de torture. Tout le système carcéral belge est encore une fois montré du doigt. Les associations font référence au fait qu’on a employé des tortures physiques et psychologiques.Ainsi l’homme souffrant d’une maladie du cœur était réveillé tout les 15 minutes. La lumière a été laissé allumer jour et nuit. Ainsi il n’avait plus la notion du temps. Durant son emprisonnement il a du subir cinq interventions chirurgicales toujours enchaîné aux pieds. Au total, 599 heures en tout enchaîné à un lit d’hôpital ou a du matériel médical. Tout mouvement était devenu presque impossible. Dans l’infirmerie de la prison de Bruges, Marcel Vervloesem fut a plusieurs reprises l’objet d’harcèlement et d’intimidations voir même de menaces par un cadre médicale. Des menaces justifiées selon le docteur vu la campagne médiatique sur Internet de nombreuses associations internationales. Même des Blogueurs et des journalistes professionnelles dénonçaient les crimes subit par l’activiste qui luttait depuis des décennies contre la porno enfantine et les réseaux de prostituions enfantines. De nombreux sites Web et des Blogs montraient la face cachée de la démocratie et ses dérives. Tout cela lui a fallu 30 jours de peine disciplinaire par la direction de la prison de Bruges. L’homme n’était plus autorisé à participer aux activités communes. Plus de promenade, plus de détente, l’interdiction formelle de téléphoner et de recevoir ou envoyer des lettres. Il devait recevoir ses visiteurs derrière une vitre. La peine a conduit à une tempête de protestations. La décision pris par la direction de la prison du 22 janvier 2009 fut dénoncé le 29 Janvier, au Conseil d’Etat par une requête. La demande était jugée fondée et recevable dans l’arrêt A.191.197/IX-6192 189936. Mais l’activiste resta bloquer ensuite dans une section spéciale toujours digne d’un régime du centre de Guantanamo. Le 4 mars 2009, l’activiste a du être transporté d’urgence à l’hôpital de St. Jean pour une deuxième intervention chirurgicale à cœur ouvert. L’opération a duré 6 heures et il fut à nouveau enchaîné, même au service des soins intensifs. Il est resté jusqu’au 12 Mars 2009, 24 heures sur 24 enchaîné à son lit d’hôpital. Les visiteurs se plaignaient de la situation dénigrante et désespérée. Le 12 Mars, il était de retour à la prison de Bruges, où il a vécu un jour sous régime normal. Malgré la gravité de la chirurgie cardiaque, l’homme était à nouveau renvoyé vers les quartiers sous haut surveillance. Le 27 mars 2009, à peine 3 semaines après une deuxième intervention chirurgicale à cœur ouvert, le système carcéral Belge avait décidé de placer Marcel Vervloesem dans une autre prison. Menotté aux mains et il a du rester assis toute une journée  dans une petite cage attendant son transfert à la prison de Turnhout. Après des heures d’attentes près de la ville de Termonde, il fut décidé que son transfert était annulé suite à une erreur administrative et Marcel Vervloesem devait immédiatement retourner à la prison de Bruges. 
 

Tout le monde se renvoyait la balle. Selon la direction de la prison de Bruges, c’est une erreur des services psychosociaux.Ce service qui est censé de décider si un détenu peut accomplir sa peine à domicile ou si le détenu a droit à la liberté sous conditions. Mais son dossier est resté traîner plus de huit mois. Selon ce service, la responsabilité se cachait près du procureur général d’Anvers qui avait renoncé à réagir à la demande d’une liberté provisoire. De cette manière, la mascarade a pu continuer et le dossier de probation a pu être gelé tout un temps en violant toutes les lois humaines possible. Malgré l’état précaire de l’activiste, l’homme a continué a subir des tortures d’ordre psychologique. Le 30 Mars 2009, le militant reçoit alors une lettre du cabinet du ministre de la Justice. Le ministre Stefaan De Clerck, avait déclaré dans la lettre sous référence PV.71.KL.1523/AC qu’il avait ordonné au Conseil suprême pour la surveillance des prisons qu’une enquête sur le régime carcérale de l’activiste soit ouverte.Cependant, tous les résultats de cette enquête n’ont jamais abouti, le militant n’a jamais été entendu par un membre du comité de surveillance. La lettre de Stefaan De Clerck était simplement une manouvre de plus. Le 2 Juin 2009, le scandale attire l’attention des députés européens et le 10 juin 2009 l’affaire Zandvoort et le régime carcérale de Marcel Vervloesem se retrouvent sur la place publique. Une chaine  en France brise le silence. L’émission a fait un véritable buzz sur Internet. Une vague d’indignation s’abat sur la Belgique.Dans de nombreuses lettres adressées au ministre de la Justice Stefaan DeClerck, il est question de violation de la convention européenne des droits de l’homme à l’égard de Marcel Vervloesem qui vit une situation inhumaine. Le 25juin, le ministre décide que l’activiste peut retourner en prison dans la ville de Turnhout près de sa famille. Ce fut exécuté le mardi 30 juin 2009. Tout ce temps, pas moins de cinq interventions chirurgicales, des centaines d’heures enchaîné à son lit, cinq mois d’isolement sous régime carcérale inhumain dans un quartier sous haute surveillance et un dossier qui trainait dans un service administratif, sans oublier la réflexion d’un médecin de la prison de Bruges qui suggérait qu’il était possible pour lui d’envisager l’euthanasie. Soudainement la situation s’est donc considérablement améliorée pour le Belge et le système carcérale avait mis fin à son isolement total.

 

Mais durant son séjour à la prison de Turnhout,Marcel Vervloesem a du être hospitalisé d’urgence, Sa santé s’est stabilisée ensuite et le 4 août 2010, l’activiste a été libéré sous conditions. Depuis lors, il lui est formellement interdit de s’entretenir avec la presse nationale ou internationale. Ainsi il est privé de sa liberté d’expression. Une valeur tellement symbolique pourtant quand il s’agit de ridiculiser l’Islam et les croyant(e)s. Le Belge ne peut pas quitter le pays et aucune enquête, aucune recherche sur les réseaux de porno enfantin et les réseaux de prostitution enfantine.  Il lui est également interdit d’avoir des contacts avec ses amis et des associations qui lutte contre les réseaux de pédocriminelles.

 

L’activiste a du être hospitalisé encore une fois le 7 septembre 2010 à l’Hôpital du Sacré-Cœur à Lier, où une défaillance des reins avait été prononcée. A la dernière nouvelle, Marcel Vervloesem est très priser par des équipes de télévisons, des journalistes venant des quatre coins de l’Europe. Ainsi il a du refuser des dizaines d’interviews et des invitations aux universités de Norvège et d’Allemagne. Il se justifiât aux journalistes en leur montrant les conditions de sa liberté provisoire. Actuellement il loge dans un appartement aménagé par sa famille et ses amis dans la région deTurnhout.

 

Les associations étrangères sont choquées de la manière dont la justice Belge a traité un de leur citoyen. Pendant ce temps,une enquête approfondie sur les conditions de vie dans les prisons Belges est exigée. Plus de 700 personnes ont signé une pétition. 

 

Compte tenu des conditions de sa liberté provisoire il n’est donc pas autorisé d’aller chercher son prix sous peine de deux ans d’emprisonnement supplémentaires. Une délégation internationale basée en Italie, lui remettra son diplôme. 
 

Selon le système démocratique Belge, l’activiste est libre et ne doit pas se plaindre car il n’est pas emprisonné pour l’instant.  
 
 
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